Quand vous êtes-vous senti engagé avec intensité dans une activité professionnelle pour la dernière fois ?

Attention, je ne parle pas de surcharge de travail, de stress ou de pression excessive, mais bien de présence pleine et entière, dédiée à une seule tâche. Vous séchez ? Imaginez ce que serait une année 2024 avec plus de concentration dans vos projets. Parce que oui, l’amélioration de l’attention s’apprend. Les difficultés de concentration sont souvent évoquées au sujet des enfants. Mais, si courantes en entreprise, qu’elles sont un vrai enjeu de santé mentale au travail. Voici des éléments de cadrage, de diagnostic et de solutions pour travailler mieux, être plus productif en restant concentré. Voulez-vous savoir comment cela fonctionne ? Allons-y !

(Cet article comprend une partie 2 : “Les bénéfices du Mind Mapping pour rester concentré“)

Difficultés de concentration : définition, mécanismes, enjeux

Les experts décrivent la concentration comme “le fait de centrer son activité sur quelque chose, sur une longue séquence”. Rien de révolutionnaire. Mais, une idée clé pour mener vos projets professionnels : se fixer sur une (seule) chose, implique qu’il faille en ignorer beaucoup d’autres ! CQFD. Face au défi de la capacité de concentration, les études postulent ces premiers principes :

le processus de concentration

  • La concentration est un état – résultat, qui ne peut se produire que si nous choisissons une option, un focus, au détriment d’autres choix possibles. L’élimination précède la concentration : “ce que je ne fais pas détermine ce que je peux faire“. Ensuite, je me mets en mouvement pour cet objectif ciblé, choisi par moi.
  • La concentration est un état – présent, qui exige que je ne fasse qu’une seule chose à un instant précis. Évalué ici et maintenant, c’est le point de départ de la productivité au travail.

La question devient alors plus précise : “que pouvons-nous faire pour nous concentrer sur les choses importantes ? (Et ignorer celles qui ne le sont pas…). Creusons donc ce point : “Comment décider des activités essentielles pour nous ?”.

Ainsi, on ouvre sur cette terrible réalité : personne ne nous apprend comment mieux décider ou se concentrer. À l’école ou en entreprise.

Les mécanismes dont je parle ici, ne relèvent pas de troubles plus sévères, déficits d’attention des profils TDAH, Troubles Spécifiques de l’Apprentissage (TSA : dyslexie, dyscalculie, dysgraphie) ou autres sujets relevant des professionnels de la santé mentale.

Je me limite aux cas très fréquents des adultes en manque de concentration en situation de travail.

Les enjeux liés à ces troubles de la concentration, qui détruisent la motivation, sont énormes en termes humains et économiques. En effet, l’Agence Européenne pour la Sécurité et la Santé au Travail estime le coût du stress et des risques psychosociaux pour la France de 1,9 à 3 milliards d’€ (soins, absentéisme, échecs des projets, décès).

Concentration : Difficultés liées aux Fonctions Exécutives

 

C’est pas Versailles ici ! Quel faisceau éclaire vos tâches prioritaires ?

 

Quand on n’occupe pas une pièce… on éteint la lumière. Une règle de bon sens. Eh bien, pour prioriser les actions, songeons à la métaphore de la lampe de poche. On doit viser un faisceau de lumière intense qui éclaire une petite zone très précise, plutôt qu’un faisceau trop large qui produit une lumière diffuse, sans direction nette et avec une sur-consommation d’énergie.

La pensée focalisée, dès sa cristallisation, est la solution pour mieux se centrer. C’est un état d’esprit très attentif, vigilant, où le cerveau mobilise sa meilleure capacité de concentration dans le cortex préfrontal. Il ignore ainsi toutes les informations parasites de l’environnement. Il y a en même temps un rassemblement d’énergie, et d’abandon qui caractérisent cet état. Ce dernier vient de la tranquillité acquise par la supervision du processus.

 

Sortir d’un mythe tueur de concentration : le travail multitâche

 

le multitache est source de difficultés de tous niveaux

Laissez-moi vous rappeler, que le multitâche ne fonctionne pas ! Toutes les études le disent. Pourtant, nous nous laissons si souvent tenter par lui comme planche de salut. Les neurosciences et toutes les recherches convergent : il est trop coûteux en termes de santé mentale et physique.

Le stress que l’on voulait initialement combattre revient en force. 

Jean-Philippe Lachaux, chercheur INSERM dans le domaine de l’attention, l’affirme : “Le stress influe sur les équilibres entre dopamine (circuit de la récompense), et noradrénaline (stress). La stabilisation de l’attention n’est plus régulée dans le cortex préfrontal.

Et, ce n’est qu’un aspect de l’histoire…

Car cela va jusqu’à la destruction de neurones dans l’hippocampe (stress très élevé et durable). Les composantes viscérales, émotionnelles et attentionnelles de notre système interne sont perturbées”. La régulation n’opère plus. La cognition, la mémoire, l’apprentissage sont alors affectés. Vous devriez lire la suite.

Comment savoir si vous souffrez de troubles de la concentration ?

Est-ce que j’ai votre attention ? Je sais, cette question n’est pas “confort”. J’en entends déjà qui me soufflent : “Pas de souci, moi, je peux faire deux choses simultanément”. Ainsi, de me citer :

  1. Regarder une série TV tout en préparant le diner,
  2. Répondre à un mail tout en parlant au téléphone,
  3. Écouter une personne tout en pensant à une autre.

Il s’avère qu’il s’agit souvent d’une Illusion de focus, mêlée d’un ressenti trompeur de puissance. Un mode de pilotage automatique, dans lequel aucune de vos activités n’est vraiment priorisée. Il agit comme un écran, et ce multitâche force votre cerveau à se reconfigurer en permanence. Et, il n’est pas du tout calibré pour cela. Rien à voir avec ses qualités de plasticité cérébrale, et d’adaptabilité aux conditions de vie et d’environnement, qui sont une force et jouent sur du temps plus long. Réfléchissez-y… et poursuivez votre lecture avec cette question :

Avez-vous ce type de ressentis persistants ?

  1. Vos talents ne s’expriment pas à leur juste valeur
  2. Vous êtes dans le contrôle avec une forte fatigue
  3. Vos efforts ne développent pas tous leurs effets

L’activité mentale à un coût. Mieux : l’idée d’Immunité le fait Exploser

 

Oui, vous avez bien lu. Le cerveau peut même griller. Dans ces reconfigurations forcées, le cerveau va choisir l’option de la moindre consommation d’énergie. Sa passion, c’est la régulation des états internes, à moindre coût cognitif. Laissez-moi vous le dire : si vous espérez lui imposer d’autres règles, vous n’aurez pas le dessus.

En attendant, vous faites deux choses à moitié. Peu efficace, peu de plaisir, peu d’engagement. On passe à côté, même si l’on juge parfois la mission remplie. Mai pour l’exemple n° 3, votre interlocuteur n’est sans doute pas du même avis.

Le multitâche se fait payer très cher : le prix mental grimpe dès que nous arrêtons une tâche pour passer à une autre. La psychologie parle de bascule cognitive et de coût de ce basculement. Une commutation rarement consciente, mais qui altère les performances dans le travail, la productivité personnelle. Les approches de développement personnel doivent prêter attention à ces coûts de basculement. Seule l’attention consciente et régulée autorise la planification des activités et une saine gestion de l’énergie. Gage de plus de résilience.

 

Productivité : sous-produit du Focus et de l’Intention-Attention

 

Un sous-produit très recherché. Pensez à ce moment-là où vous vous sentiez perdu dans une grande ville. Soudain, une carte : “Vous êtes ici → Vous allez là”. Sentez ce sentiment immédiat de confiance en soi et de réassurance, qui procure un retour des énergies qui étaient dispersées ou anéanties. Vous prenez même des initiatives pour le groupe : “Restez ici, je reviens dans cinq minutes”. Un ressenti immédiat d’efficacité, qui focalise votre attention et guide l’action. Ce qui est vrai dans le monde physique l’est aussi dans les actions plus immatérielles.

Une intention de départ ferme et consciente, devient le pivot pour de meilleures décisions, et une productivité renforcée. La concentration n’est donc pas un événement que l’on peut traiter de manière superficielle et isolée.

Qu’est-ce que cela signifie pour vous ? Questionnez vos comportements pour éclairer le focus intentionnel. Un focus choisi et non subi. Un choix volontaire et incarné. Un état d’esprit à convoquer avec patience et courage.

Les sportifs qui suivent les règles de la préparation mentale, sont obsédés par ce contrôle de leurs activités quotidiennes. Pas par la mémoire. Engagement, énergie, qualité de concentration, souvent liés à des choix de vie radicaux. Les professionnels en entreprise ne sont pas tous des athlètes de haut niveau, mais peuvent s’inspirer de ces mécanismes.

DÉCOUVRIR LA PARTIE 2 :Bénéfices Mind Mapping pour rester concentré

Éliminer les distractions : utile, mais
bien trop juste pour rester concentré

 

Je vous le prouve avec 2 exemples, et peut-être vous êtes-vous déjà trouvé dans l’une de ces situations :

distractions ennemies de l'attention

1. Pierre a éloigné toutes les distractions qui le menaçaient. Il attend depuis des semaines un retour en grâce de l’état de concentration. Mais rien ne vient.

Pourquoi selon vous ? Vous pensez qu’il en a oublié certaines ? Non, il a tout éradiqué en masse. Mais, il peine toujours à décider ce qu’il laisse de côté. Et, au final, ce sont les urgences des échéances, dictées par l’environnement ou les autres acteurs, qui décident à sa place.

2. Claire souffre pour rédiger son rapport sur le marché. Défaut de focus ? Suppression des dernières distractions, hygiène de vie renforcée (sommeil, alimentation, relaxation, techniques de méditation, organisation de l’espace de travail), et présence et énergie toujours insuffisantes pour rédiger son rapport.

Pourquoi selon vous ? Elle ne prend pas de plaisir dans l’acte d’écrire. Elle souffre et anticipe sa peine, qui augmente. Absence de plaisir et peur : il n’en faut pas plus pour bloquer le cerveau dans ce processus. Le défaut d’amour de l’acte d’écrire est la cause profonde de sa situation. Pour changer, elle doit faire bouger le statut de l’action projetée. Sinon, déléguer la tâche. Maîtriser l’art de la délégation fait partie des bons conseils, afin de ne pas ruiner le reste des efforts.

Oui, l’absence de distraction donne des chances en plus, dont celle de réfléchir à la racine du mal. Mais, non, les causes premières étaient ailleurs dans ces deux situations.

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Troubles de la Concentration : Augmenter sa Capacité d’Attention

Reconnaître la multiplicité des options offertes et le besoin urgent et la difficulté du choix est un préalable. C’est justement sur ce motif que nous allons diriger notre énergie et attention.

La stratégie des “deux listes“, pour une attention ciblée, va dans ce sens. Une méthode pour concentrer son attention sur ce qui est important, et éliminer ce qui ne l’est pas. la pratique vient de l’investisseur de renom Warren BUFFET.

Sa méthode utilise une stratégie simple de productivité en 3 étapes pour déterminer les priorités et les actions.

  • ÉTAPE 1 : lister 25 objectifs ou réalisations sur une période donnée. Par exemple la semaine ou le mois.
  • ÉTAPE 2 : entourer les 5 objectifs clés pour la période, pour y porter un focus absolu.
  • ÉTAPE 3 : étape d’acceptation de ne pouvoir tout traiter. Résister à la tentation de se dire : “je travaillerai sur les 20 autres écartés de façon intermittente“. Sa recommandation : considérer cette liste comme celle des “choses à éviter à tout prix”. N’y accorder aucune attention, au moins jusqu’à la finalisation des 5 premières. Décision difficile, mais indispensable pour rester monotâche.

Ce même auteur ajoute : “La différence entre une personne qui réussit et une personne qui réussit admirablement, c’est que cette dernière dit non à presque tout”. La mesure de protection pour mener à bien ces tâches ciblées et neutraliser les demandes extérieures qui seraient des distractions.

Nous nous contentons souvent de dire oui ou peut-être. Parce que nous voulons éviter la gêne sociale de dire non. Mais dire Oui à quelque chose, c’est générer un coût d’opportunité et un coût cognitif, qui entraine des Non, ni choisis, ni assumés, à d’autres tâches.

D’autres méthodes, comme celles de Ivy LEE, qui consiste à isoler en fin de journée une seule tâche à réaliser le lendemain. Ou celle de la matrice d’Eisenhower, qui distingue Importance et Urgence pour prioriser et affecter vos travaux. Mais, quelles que soient les méthodes, l’attention est sujette à érosion. D’où le point suivant.

Exercice de concentration : le couple Intention – Attention

 

Avoir conscience de ce couple est la première étape. Vous pouvez pratiquer ainsi :

Cultiver l'intention pour renforcer l'attention

1. Commencer par la fin, et remonter le processus

 

On veut ici relier l’intention (ce que je cherche à faire au présent), et l’attention (mon niveau de vigilance futur). Le cerveau élimine les informations sans utilité, et ne retient que celles les plus adaptées à mes buts présents.

L’intention naissante (du latin intendere : tendre vers), prépare donc le terrain de l’attention.

  • Cette alliance qui ne connaît pas encore le chemin, les moyens et le temps nécessaires. Mais, déjà, il est possible de se créer une première image mentale pour se “tendre vers”.
  • L’intention s’esquisse avec cette image du résultat acquis, et remonte le chemin vers l’état et le but actuels. Au passage, nos neurones sentinelles s’activent. Le duo Intention – Attention se met en mouvement, pour repérer et décoder, de manière automatique, des informations – faits – événements pertinents.

Sans quoi, tout cela reste hors de notre champ de conscience.

 

2. Mesurer ses résultats et progrès, et solliciter du feed-back

 

Sans clarté de l’intention de départ, et de l’objectif, la menace plane. Si l’intention est palpable, cela donne davantage de sens à la direction choisie (“Vous êtes ici → Vous allez là”). Cela va aider à mesurer les progrès accomplis.

Bien sûr, la concentration peut s’éroder. Souvent par une faiblesse d’intention, qui n’incite pas à solliciter du feed-back régulier. Le cerveau, en parfait gestionnaire, veut savoir si l’énergie est bien utilisée. La progression vers les objectifs est-elle tangible ? Impossible à savoir sans feed-back, sans mesurer nos résultats. Au plus une vague impression, mais pas assez pour devenir manifeste. La mesure est là pour améliorer la concentration. Les choses que nous mesurons sont celles que nous pouvons améliorer. Et, avec le rythme imposé par le changement permanent, tout ce qui ne s’améliore pas, se détériore le plus souvent.

Quelques exemples de mesure :

  • Le copywriter qui va écrire 500 mots chaque matin pour améliorer sa rédaction. Il voit déjà le livre produit.
  • Le senior qui décide de courir les lundis et jeudi en soirée pour retrouver la santé. Il voit sa santé recouvrée.
  • L’adolescent dont les parents veulent qu’il lise 20 pages / jour, pour le goût de lire. Ils voient l’enfant lecteur.

Nous évitons souvent cette projection qui demande de lui faire un peu de place, de vide, de respiration.

Nous évitons généralement de mesurer. Nous craignons ce que les chiffres vont dire sur nous-mêmes. Pourtant, mesurer n’est pas un jugement sur la personne. C’est un simple retour d’information pour devenir meilleur.

 

3. Se concentrer sur… le processus, plutôt que sur le résultat

 

Nous confondons souvent le succès ou l’échec final comme la mesure ultime de l’action.

  • Je peux perdre 20 kilos (résultat), et ne pas retrouver la forme et la santé (processus) pour autant !
  • Je peux atteindre mes positions SEO voulues, sans pour autant attirer la bonne audience et convertir.
  • Je peux passer sur un plateau TV avec mon innovation, sans pour autant gagner en véritable notoriété.

Le succès n’est pas un fait unique. Il est organique et se développe par strates. Par petites victoires discrètes. Ces transformations sont rendues possibles grâce à l’engagement dans le processus. Il faut désirer et soigner le processus en amont. C’est souvent un point d’achoppement pour les apprentissages. Aimer apprendre avant de se féliciter pour l’acquisition de nouveaux savoirs.

De l’Amour du processus à la préparation du succès

La concentration sur le processus, l’amour de celui-ci, est un lien profond à nous-mêmes et à notre environnement. Cela permet aussi de mieux célébrer les résultats en cours de route. Utile à la motivation.

Apprécier le processus, prendre plaisir pour plus de focus

Notre copywriter de l’exemple précédent ne peut devenir un auteur reconnu que s’il tombe d’abord amoureux du processus d’écriture. S’il le chérit, alors il se connectera à ses lecteurs et son éditeur.

Savez-vous que la requête “Comment se concentrer quand on est amoureux ?”, est très recherchée sur Google. À méditer…

Exemple personnel avec ma passion pour le SEO

Pour ma part, j’ai une vraie passion, avec une dimension technique, ludique et créative. Je fais mes gammes, j’expérimente, j’improvise. Je suis présent et centré. Si cela vous parle, écouter cette vidéo de Jason BARNARD de KALICUBE “Harmonie dans les résultats des SERP !”. La musique est structurée, mais son interprétation doit rester libre et inspirée pour toucher nos émotions.

Pour moi, “sentir la SERP”, est devenu une sorte d’instinct premier. Avec ce mindset, je pense la valeur (la mienne, celle de l’intelligence artificielle), l’analyse des données et l’automatisation des tâches. Un plaisir solitaire et une concentration au top ! Ensuite, je peux mieux partager avec d’autres SEOs, avec mes clients, ou en formation mind mapping pour le SEO.

Les Difficultés de Concentration ne sont pas une Fatalité

J’arrive à ce constat sur les capacités de concentration. Pas de fatalité, mais un désir de changer. Votre ressenti de talents non exploités, de décalage entre les efforts consentis et les résultats obtenus, peut avoir un lien avec ces situations de défaut d’attention. Poser un constat honnête et argumenté sur ces difficultés est une condition de résolution. Sortir de la fatigue mentale demande un repérage des mécanismes de fonctionnement cérébral et corporel. Il vous faut développer une vigilance par rapport à ces états. Je vous recommande aussi de découvrir comment la pratique du mind mapping vous apporte des solutions très concrètes et puissantes sur ces sujets.

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Auteur : Denys LEVASSORT, Fondateur du site mind-mapping-decision.com.

Fort d’une expérience de +15 ans en Systèmes d’Information, avec des missions de Conseil et Formation dans des domaines d’activité très variés, il s’est vite passionné pour la Pensée Visuelle et la Gestion des Connaissances. Il est aujourd’hui un spécialiste reconnu du Mapping en entreprise, en plus des aspects de Management de l’Information.

“Je suis ravi d’avoir partagé cet article avec vous. Le sujet est peu traité dans la presse entreprise. Je crois peu aux bonnes résolutions de début d’année, mais par contre, une conscience des leviers pour changer fait partie de la solution. Le manque de focus est un poids pour les acteurs de l’entreprise, les managers, les équipes. C’est aussi, au final, des pertes de chances pour les organisations. Ce n’est donc pas de la cosmétique.”

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