Réussir le changement organisationnel en entreprise ne dépend pas que des nouvelles technologies et des reconfigurations de processus associés. En 2025, des avancées technologiques majeures nous forceront à nous adapter, et cette transformation numérique doit être guidée par la stratégie, et s’appuyer sur les équipes, pour des objectifs de développement. Toute transformation structurelle des organisations et du travail est guidée par de profonds leviers et moteurs humains, sociaux et émotionnels.
La technologie doit en être le facilitateur, et non le moteur. L’IA ne tiendra pas toutes ces promesses, mais l’organisation sera secouée : culture collective, apprentissage, talents, dynamiques sociales, résilience, émotions, inclusion. Des mutations à centrer sur le volet du capital humain.
I°. Changement Organisationnel, au-delà des Processus Techniques
Comme le note Edgar SCHEIN : “La mise en œuvre du changement culturel est à l’entreprise et son management, ce que la formation de la personnalité est à l’individu“. Une vue identitaire bafouée par des rôles et mécanismes de contrôle excessifs, qui conduisent à des silos trop marqués, luttant contre l’alignement stratégique. Ne pas rejouer le coup de la transformation digitale ratée ou retardée.
De mon côté, avec Mind Mapping Décision, j’observe depuis 15 ans ces dynamiques, à travers mes formations et coaching des managers et leurs équipes, en management de l’information et pensée visuelle. Entre diagnostics et accompagnements, entre modèles théoriques et actions concrètes dans les projets, où parfois de simples ajustements ne suffisent plus. Sorte de désynchronisation entre les cycles projets et le rythme des complexités des écosystèmes modernes, que le facteur humain doit affronter.
1.1 Modèles de changement : les méthodes classiques échoueront face à la Tech.
En 2025, les bouleversements technologiques sont fous. Ils renversent la conception des systèmes d’information, des rôles du management et des processus et outils au cœur des activités. De quoi réveiller la résistance des employés aux initiatives et leviers de changement, avec un risque imminent d’un stress grandissant.
Un exemple : après 25 ans de SAAS (Sofware As A Service), ce pilier structurant du numérique se retourne au profit du modèle 100% inverse de “Services As A Sofware“.
La révolution IA en cours de déploiement nous plonge dans le workflow, le process et l’automatisation. De nouveaux possibles, impensables il y a encore quelques mois.
Comment se préparer et combiner ces nouveaux cadres de référence, de pensée et d’action ? Comment communiquer et se comprendre sur ces sujets techniques et le reste ?
“Tous les modèles sont faux. Mais, certains sont assez utiles” (Georges BOX).
Pas de recette miracle en X étapes prescrites. Des appuis à des cycles de questionnements structurés (profitant de l’IA…), des hypothèses de trajectoires pour stimuler les talents, et une communication mature. À condition de compter sur un niveau de conscience plus profond du système organisation et de ses connexions.
Comment ouvrir les échanges, avec partage large, des émotions aux connaissances terrain (knowledge management) ? Je vous raconte mon expérience de 15 ans à éclairer la performance des projets, soumis à l’épreuve des freins au changement et transitions professionnelles.
Pour clarifier mon propos, j’utilise au quotidien des solutions d’IA avancées : en veille, cartographie, aide à la rédaction et visuels, selon une posture choisie : apprenante et techno-vigilante.
1.2 Changer, entre modèles, culture d’entreprise, résilience et tâches quotidiennes
Même sans objectif d’innovation, l’écosystème entreprise, pour évoluer, doit cultiver le sens de la mission, décliné en actions des projets. La sociologie des organisations nous le rappelle.
Lisez cette synthèse PDF : décodage des 5 Modèles de Changement Organisationnels : LEWIN, ADKAR, KOTTER, KUBLER-ROSS, Mc KINSEY, revus selon leurs profils, limites et forces, pour vos plans 2025.
En 2025, ruptures technologiques aidant, je vois un risque d’oublier le versant humain de l’organisation et de la performance durable.
Ces ruptures transforment la manière dont les employés interprètent leurs rôles, se connectent et coopèrent entre eux. Peu d’entreprises mesurent ces effets, mais déjà leurs d’employés craignent d’être remplacés. Brandir les promesses d’intelligence collective en cas d’ajustements structurels massifs ou de restructuration ne suffit pas.
Vous voulez vous appuyer sur les Modèles pour Conduire le Changement ? Les 4 types de changements, les 5 types de modèles, les 7C pour gagner, les 9 erreurs à éviter… et après, on fait quoi ?
Parce que ces modèles sont connus de 80% des dirigeants, mais leur mise en œuvre continue de poser un problème. Trop prescriptifs ou exclusifs ? Trop partiels ? Mis en œuvre par la figure tutélaire du seul Dirigeant élevé en Héro ? Dans ces transitions, on vise engagement au travail, la vitalité dans la capitalisation des idées, des informations et innovations. Réussir cette danse du changement est aussi un axe fort de l’action du manager de transition ou le temps est sous tension.
Je vois la “gestion du changement” comme une vision dépassée. Si l’on sait ancrer l’agilité et la fabrique du sens et de la cohérence, alors, le changement prend largement soin de lui-même ! Et d’abord, on respecte l’existant : le désir de changer ne dénigre pas ce qui a déjà été fait, mais pose un signal de bascule de contexte. On décode et on s’appuie sur ce qui est, et on lance le changement selon une approche incrémentale et progressive.
Mais ce sens n’est pas une donnée statique, c’est une construction dynamique qui émerge à travers l’action collective : “Le besoin de sens naît de trois besoins fondamentaux que sont le besoin de sécurité, le besoin de reconnaissance et le besoin d’avenir, de vision désirable“. Ainsi que le défend David AUTISSIER, le sens et l’action guident la courbe du changement, dans un cadre de leadership appréciatif de valorisation des réussites.
1.3 Adoucir les coûts des mutations techniques, restaurer l’angle humain
L’irruption de l’IA et des technologies disruptives dans toute l’entreprise est une poussée à fort coût émotionnel et psychologique pour vos équipes. Comment naviguer dans le paysage émotionnel du changement technologique ?
La résilience organisationnelle souhaitée ne peut pas se développer en contexte de peur de l’inconnu, sur fonds d’incertitude et de stress sur l‘obsolescence des compétences. Un besoin d’espaces psychologiquement sécurisés dans l’entreprise, pour gérer la résistance au changement des collaborateurs. À entendre, non comme une “mauvaise volonté“, mais comme une capacité de perception et décodage. Un signal pour mieux faire ensemble.
Les managers ne sont pas préparés, ils manquent de compétences en IA et de soft skills pour décoder les émotions complexes d’un changement technique aussi brutal. Pire, sentant ce déséquilibre entre progrès technologique et préparation organisationnelle, ils intensifient leurs méthodes traditionnelles de gestion de projet. Maladresse, manque d’empathie ou peur de perdre le contrôle, cette stratégie mène à l’impasse.
“L’essor de l’IA : au-delà de l’excitation, une opportunité unique à saisir : la création de groupes de ressources et de réseaux professionnels de soutien pour monter en compétences sur l’IA. L’occasion de flécher les investissements : faire collaborer managers, équipes et partenaires de l’écosystème sur ces nouveaux terrains. Quitter sa position de sachant pour celle d’apprenant. Parce que l’IA et ses capacités à mettre en œuvre, par des non-informaticiens, change la valorisation des expériences humaines. Alliances hybrides Humain – IA qui redessinent la vision du changement en entreprise“.
Connaissez-vous les livres de Gareth MORGAN, Images of Organization and Imaginization ? Ils sont éclairants. Ils revisitent les théories du management fondées sur des métaphores implicites, conscientes ou non. L’entreprise y est vue tour à tour comme : 1. Machine efficiente ; 2. Organisme vivant ; 3. Cerveau pensant ; 4. Culture ambiante ; 5. Système politique ; 6. Prison psychique ; 7. Flux en mouvement ; 8. Instrument de pouvoir.
La réalité est toujours un assemblage à facettes de ces 8 dimensions, et cela guide l’expression des visions du changement. Agilité mentale où chacun peut examiner ses dominantes et son rôle selon ces 8 axes.
Je pense qu’il faut tendre vers des choix très politiques en faveur de :
- La création d’espaces sécurisés où les collaborateurs déposent leurs inquiétudes sans peur,
- La reconnaissance explicite des émotions comme première étape vers une résilience accrue,
- La généralisation de la résilience personnelle et organisationnelle avec une facilitation solide.
Les méthodologies et outils de la pensée visuelle, offrent un cadre d’apprentissage organisationnel, structurant et sécurisant pour aborder ces ressentis individuels et collectifs. Prenons soin du système vivant de l’organisation et des résistances des parties prenantes.
II°. Qui, en Charge de la Conduite du Changement Organisationnel ?
En matière de leadership du changement, on se tourne vers les dirigeants, managers et cadres intermédiaires. Les chefs de projets qui font cela très bien. Aller au-delà de la figure du Héro et du Sauveur. Dépasser les ajustements opérationnels, et l’illusion de mouvement des réunions interminables sans avancée réelle.
Un vrai leader ne fuit pas l’inconfort, il l’accepte et l’utilise pour le transformer en énergie collective. L’inconfort ressenti est déjà la trace d’une perception d’une transformation personnelle et organisationnelle en cours. Un système d’alarme pointant des failles dans le processus de transition. Une solution : un profil du leader facilitateur. Vous pensez comme moi aux compétences des Ressources Humaines ?
En 15 ans, j’ai souvent travaillé avec les RH en mind mapping : cartographie des compétences, plans de formation, projets professionnels, engagement collaboratif. Je les ai observées corsetées par le cadre réglementaire, au détriment de réelles mesures d’accompagnement proactif. Il faut vite former les RH à l’IA, afin qu’elles se positionnent en conscience et affirmation de leur rôle de coach. Former à un leadership dont le vrai pouvoir résidera dans la capacité à renoncer au contrôle à tout prix et à s’appuyer sur le talent des équipes.
Qu’on l’attende ou le redoute, le changement organisationnel est là. Le compte à rebours commence. Sa signature ne se lit pas dans ces petites aventures des équipes avec les IA génératives. Sa trace est plus profonde et se nomme IA Agentique, MCP et AGI. Plus les transformations sont profondes, plus les dynamiques émotionnelles seront complexes. Même si les employés reconnaissent intellectuellement la nécessité des changements, ils éprouvent simultanément des émotions négatives telles la peur et l’incertitude. Franchir ce seuil exige un décodage des structures, comportements et activités, pour intégrer la technologie de manière fluide et transparente dans les processus métier, avec un soin porté aux leviers et catalyseurs humains.
2.1 Questionner, rassurer, former les équipes et adapter la culture de l’organisation
La communication intense sur les avancées technologiques de L’IA, génèrent du stress dans les équipes. Nous devons guider l’acceptation de ces transformations avec un décodage de leur mécanique interne et locale.
Restaurer une approche intégrative, qui valorise la mobilisation humaine dans les activités. Les RH vont-elles se saisir du sujet, et que proposeront-elles ? Parce qu’en surcouche des aspects techniques, le volet dynamique des équipes forme un écosystème interconnecté irrigué par des dynamiques sociales, relationnelles et émotionnelles.
La formation est une réponse, mais elle ne suffira pas pour porter la vision. Pensez à un cadre éducatif structuré, dans la durée, teinté de psychologie sociale et sens du travail, de bien-être professionnel et contributivité. À ces conditions, on peut renforcer les chances de succès de l’entreprise dans ses projets de développement.
2.2 Vision holistique pour bâtir un univers de sens et de travail épanouissant
La facilitation visuelle du changement organisationnel en entreprise est un sujet d’avenir. Le rythme toujours accéléré des ruptures et transitions impose simultanément de :
- Donner un sens minimum a un fait ou événement, de façon individuelle et collective,
- Assurer une transition fluide face à ces faits, au dedans et en dehors de l’entreprise.
Un défaut de décodage et d’acceptation du changement, des tensions trop présentes et répétées, et c’est la cohésion collective ainsi que l’efficacité des interactions qui se trouvent menacées. Soigner les dynamiques sociales, c’est l’opportunité de façonner des relations interpersonnelles plus résilientes dans l’entreprise.
Et si l’entreprise repensait des sciences de gestion plus intégratives, nommant (enfin) les complexités du comportement humain. Déjà en 1980, Peter DRUCKER (“Le prix de l’excellence“) pointait le besoin d’un changement profond des plans de gestion, visant un processus maître chargé de diagnostiquer la santé d’autres processus internes. Ce maître, c’est la santé organisationnelle et émotionnelle, irriguée par la création de sens et l’expression des talents.
Comme le note David AUTISSIER ci-dessous, chaque cadre de l’entreprise est à la fois leader, manager, et gestionnaire, et ce dernier rôle est aussi traversé par les dynamiques d’adaptation. Dans ce cadre, chacun doit déjà se changer lui-même, et sortir de ses croyances limitantes.
III°. Faciliter et Cartographier Projets, Talents et Dynamiques Sociales
Les théories sur l’organisation et le changement reposent sur des vues souvent partielles. Or, une dynamique sociale complexe toujours à l’œuvre, sculpte les comportements individuels et les niveaux d’engagement de chacun. Le mode de pensée mécaniste est ancré dans notre conception quotidienne et il est souvent difficile de penser l’entreprise autrement.
Mondialisation et marchés internationaux, n’effacent pas les influences nationales, persistent dans les approches managériales. L’étude EU-OSHA, le note dans le vécu des interactions humaines : dynamiques sociales, autonomie, modes de décision. En France, la participation des salariés à la gouvernance reste faible en UE, la QVT a de beaux jours devant elle.
Le mode de participation indirect, via les représentants du personnel et syndicats existe, mais le mode direct d’association à la prise de décision concernant les aspects organisationnels est moins actif (Source IGAS 2025 : Pratiques managériales dans les entreprises en France. Pourtant, la crise du sens du travail est reconnue, et l’attente d’un dialogue social renforcé et réflexif existe.
Voici 2 pistes expérimentées dans mes accompagnements, pour modestement faire changer les situations figées : la Facilitation et la Cartographie visuelle.
3.1 Facilitation Visuelle : de l’intelligence des conversations aux structures de soutien
Comment prendre soin des interactions entre les systèmes et les personnes ? Avec l’entraînement, les dispositifs de facilitation concentrent des savoirs et savoir-être capables d’agir en soutien des projets. Pour les managers, c’est l’opportunité unique de cultiver et déclencher la facilitation au meilleur moment, pour l’autonomie et l’engagement des membres de l’équipe.
Il y a là des réserves de résilience et d’innovation.
En voici quelques piliers structurels :
- Effacement progressif des égos trop présents, face à une complexité rendue visible. Mise en évidence que la perception de la réalité et du changement à travers le seul prisme du dirigeant ou du manager ne suffit plus.
- Capitalisation des points de vue et perspectives, reconnaissant la valeur de l’expérience et son récit, tout en refusant une portée de valeur absolue, qui mène à un aveuglement systémique. Le lien au contexte prime.
- Retour d’information immédiat et visibilité accrue des changements en cours. La force du récit et de l’intelligence des conversations, encadrées par un sentiment d’appartenance à une entité organisationnelle.
Un individu se change quand il vit une expérience et en fait le récit. qui peut être historique, expérientiel, ou prospectif, et la facilitation va tisser cette toile. Construction validée par les travaux de PIAGET et KOLB, pour une narration formant des images mentales du développement futur. La facilitation, comme le mind mapping s’en inspirent, pour un management centré sur l’écoute des besoins présents des personnes, dans une dynamique d’adaptation continue. Cela intègre donc les tensions dues aux changements de paradigmes.
Pourtant, les pratiques de gestion classiques reposent encore fortement sur le contrôle et la prescription, et ajoutent du stress et de la complexité inutile. Pensez à des changements plus petits et gérables (minimal viable edges) plutôt que de viser une transformation massive en une seule fois. Une stratégie progressive à l’écoute des initiatives locales de changement, qui sont plus nombreuses que vous ne l’imaginez. L‘écoute authentique n’est pas une case à cocher, mais un vrai engagement.
3.2 Cartographie des dynamiques humaines du milieu organisationnel en changement
Vous connaissez la cartographie des processus, mais prenons un peu de hauteur pour regarder le système vivant de l’organisation.
La cartographie vous aide ! Elle capture, nomme et représente cette complexité de manière accessible. Ce n’est pas le dispositif technique en lui-même, mais l’ouverture d’espaces d’échange rendue possibles qui sont aidantes ici.
Parce que les méthodes et les outils de pensée visuelle injectent de la vitalité systémique dans les activités quotidiennes des projets, ce qui renforce en retour la dynamique sociale.
Voici la cartographie de cet article : ses couches actives, clusters, patterns, mots clés…et plus. Le sens s’ouvre et se reconfigure. Direction, Managers et Équipes, tous s’engagent et y gagnent.
J’affirme que la cartographie est un seuil pour mettre en mouvement, rendre vivant, explorer les représentations et la psyché collective de l’organisation. Sortir de l’intellect froid, avec un levier avantages compétitifs, car :
- Ces assemblages culturels, alignés et performants, deviennent impossibles à imiter par les concurrents,
- La gestion du changement est à l’intersection des stratégies prescriptives et des méthodes participatives,
- La force de l’apprentissage dont le visuel est un levier de résilience, actualisant les schémas de pensée.
Dirigeants et Managers doivent épouser autant les dimensions analytiques, qu’humaines du pilotage des projets. C’est dans cette dualité que réside le secret d’une transformation réussie. C’est ici que le mind mapping et la facilitation révèlent leur puissance.
Le mind mapping, et la cartographie, avec leur nature visuelle et structure radiale, offrent de :
- Créer une conscience partagée des défis et opportunités de l’écosystème,
- Bâtir une mécanique vivante au sein des systèmes sociaux et des équipes,
- Transformer les simples perceptions en tâches concrètes dans les projets.
L’approche visuelle facilite ce premier niveau de conscience de soi, puis des patterns à l’œuvre et du système, et propose à l’organisation de s’adapter avec agilité aux changements de son environnement.
Conduite du Changement Organisationnel : Prochaine Étape ?
La facilitation apparaît plus que jamais comme un pivot central et un contrepoids au “tout technologique”, réaffirmant la centralité de l’humain dans les processus de transformation. J’anticipe votre remarque : “l’individu au centre ? J’ai déjà entendu cela dans l’analyse des retards pris par les entreprises sur la digitalisation”. C’est vrai ! Les entreprises ont posé, parfois tardivement, la prévalence de l’humain, mais ont-elles pour autant plongé dans les fondamentaux de la communication et de la facilitation ? Pour la plupart, j’en doute.
Cette fois-ci, surveillons vraiment le climat émotionnel et la résistance des employés au changement. Les organisations qui intègrent la facilitation dans leur culture, disposent d’un système d’alerte, et notent une appropriation des mutations par les équipes, une fluidification de la communication avec le décodage fin des dynamiques sociales et organisationnelles. Elles repèrent et acceptent aussi les micro-cultures des projets, départements ou communautés, qui soutiennent l’ensemble. Elles transforment les défis en opportunités.
Auteur : Denys LEVASSORT, Fondateur du site mind-mapping-decision.com.
Fort d’une expérience de +15 ans en Systèmes d’Information, avec des missions de Conseil et Formation dans des domaines d’activité très variés, il s’est vite passionné pour la Pensée Visuelle et la Gestion des Connaissances. Il est aujourd’hui un spécialiste reconnu du Mapping en entreprise, en plus des aspects de Management de l’Information.
“Depuis des années, j’accompagne des entreprises, où l’axe de changement se situe tant au niveau des tâches projets que des choix stratégiques. Les pratiques visuelles ont cet avantage de rendre ces mouvements visibles, de les ouvrir aux échanges et aux contributions. Faire bouger ainsi les représentations individuelles des managers selon un double objectif : faire changer et changer soi-même. Parce que la culture organisationnelle est le reflet des niveaux de conscience des équipes dirigeantes. Elles influencent la culture de l’entreprise et impriment leur marque sur les comportements des individus, qui à leur tour vont remodeler la culture.
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